Notre point :

Notre point :

L’histoire nous l’enseigne et nous l’a enseigné, le Togo indépendant est la volonté de tous ses fils, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest qui ont voulu se libérer de la contrainte du colonisateur (des colonisateurs puisqu’il s’est agi des Allemands et des Français et même des Anglais).
Par conséquent personne ni aujourd’hui ne demain ne pourra penser à séparer le Nord du Sud pour quelque motif que ce soit.
Le seul souci qui avait présidé à la réclamation de l’indépendance et au désir du développement doit être le seul maître-mot aujourd’hui et demain.
Le partage des richesses de tout le pays à tous les Togolais doit se poursuivre avec un seul objectif, traiter les Togolais comme de véritables fils d’une même mère et d’un même père.
Il est injurieux de voir aujourd’hui beaucoup de Togolais partir ailleurs pour la recherche de meilleures conditions de vie alors que ce petit pays regorge de toutes les richesses capables de rendre le Togolais heureux.
Aujourd’hui dans la sous région, le Togo ‘’doit être probablement’’ et est le seul pays où les gens vivotent au lieu de vivre avec des « SAL-AIRS » de misère et tous atteints de la maladie du siècle : le SIDA, puisqu’il se définit par les Togolais comme étant « Salaire Insuffisant Difficilement Acquis ».

Le taux de scolarisation est le plus haut certainement, mais où sont les diplômés du pays ?

Bon on m’objectera que le gouvernement en place fait des efforts, soit dit, oui en effet il y a des efforts qui se font remarqués depuis un certains temps. Mais pourquoi toujours attendre une grogne avant de réagir et parfois on entend certains ministres dire que l’augmentation des salaires ne résoudra pas le problème du Togolais parce que dit-il, le loyer est moins cher au pays et les choses ne coûtent pas. Et pourquoi, le loyer et les choses ne coûtent-ils pas ? C’est justement parce que les salaires sont de misère si bien que tout le monde est conscient du problème. Si les propriétaires de maisons grimpent le loyer, les gens loueront sûrement ces gites mais ne feront qu’accumuler des arriérés de loyer quitte à se faire renvoyer comme un chien avec un coup de pied dans le derrière ; si le paysan augmente le prix des denrées, il retournera au soir de chaque marché avec ses céréales à la maison… et comme il y a manque de moyens de conservation, il perdra tout. Résultat, il vaut mieux vendre à bas prix pour ne pas perdre totalement.

Au finish, le paysan, le fonctionnaire togolais et surtout l’enseignement sont les plus lésés. Et pourtant, sans eux pas de nourritures, pas d’intellectuels, pas politiciens, pas d’hommes censés pour nous diriger.

Pour vivre heureux dans ce pays qui est le nôtre à tous, essayons de bien gérer la chose publique à nous, à vous (vous les dirigeants) confiée. C’est à cette seule condition qu’il fera bon vivre ici et notre être, notre façon de faire pourra attirer d’autres frères de cette planète à venir s’installer chez nous pour développer des activités génératrices de revenus ; c’est à cette condition que nos fils disséminés dans le monde entier et surtout dans les pays d’Europe et de la sous région pourront être tentés de revenir servir leur pays.

De grâce vous les vrais historiens, abstenez-vous de vos jugements car ici c’est parole d’un «histaudidacte le perroquet ».
Pour la question du jeu-concours demain, promis, juré vous l’aurez.